E17

Publication de chanson que j'ai écrite

Je suis au lycée j'ai perdu une amitié qui comptait beaucoup pour moi. Maintenant je chaque jour pour moi est compliqué entre les cours qui continue ou juste la vie de tout les jours. Et donc pour le sentir mieux j'écris des chansons (que je mets en son par une IA pour pouvoir les écouter) ça m'aide un peu à aller mieux mais pas totalement, je voulais donc juste envpartager.

Donc celle là est celle qui a le plus de sens pour moi le titre est “Là ou elle n'est plus” le début le “tu” désigne le monde qui me donne plein de possibilités de futur mais pas celui que je veux. Le reste est plus évident à comprendre.

Tu me proposes mille routes, mille portes ouvertes Je veux le chemin qui n’existe pas, celui qu’on perd. Tu me donnes des choses que je peux toucher, voir, nommer, Je veux tout ce qui tourne la nuit dans ma pensée. On me parle d’avenir, de foi, de courage, Moi je sais seulement comment tenir ce mirage. Les pages m’ont été arrachées, je cherche la trace, Et je reste là, figé, à parler dans l’espace.

Elle est partout où je pense, jamais ici, Son souffle dans mes mots, son ombre dans la pluie. Je fais les mêmes gestes, j’attends le même bruit, Mais tout est parti, et rien ne revient, rien n’est ici. Je l’ai aimée sans savoir, je l’ai perdue sans combat, Et je reste à répéter son nom comme on retient le pas.

Ses yeux étaient des cartes où je me perdais sans peur, Son rire un feu bref qui me sauvait des heures. Ses dessins, ses mains, son art qui parlait sans voix, Tout me ramène à elle, tout me déchire de joie. Quinze ans et déjà la nuit colonise mes jours, Chaque réveil un oubli, chaque seconde un détour. On me dit tourne la page, qu’il faut se relever, Mais mon avenir m’a été pris, comment me délier ?

Je garde ses promesses comme on garde un trésor, Elles pèsent, elles brûlent, elles m’empêchent d’encore Respirer sans qu’elle revienne sous mes paupières, Absentelumière, elle hante mes frontières.

Elle est partout où je pense, jamais ici, Son sourire dans la mémoire, sa voix dans la nuit. Je voudrais dire je t’aime, je voudrais dire avant, Mais mes mots sont des couteaux qui me laissent en sang. Je l’ai aimée sans mesure, je l’ai gardée en secret, Maintenant je promène sa trace comme on porte un regret.

Je ne demande pas qu’on me rende le monde d’avant, Je veux juste un lieu où sa voix ne soit plus un manque. Si tu entends mes silences, si tu lis entre mes nuits, Sache que je l’appelle encore, ce qui me laissent en sang.

Je l’ai aimée sans mesure, je l’ai gardée en secret, Maintenant je promène sa trace comme on porte un regret.